Telecharger Métamorphose d’un crabe – Sylvie Dazy (Francaise) - Livre gratuit en français

Christo, jeunes vigilants, est nommé par votre premier post. L’air d’un ethnologue embusqué, notant et personnels détenus. Mais il est perdu dans son propre labyrinthe, tente de plusieurs routes, avant que votre projet prendre un tournant. L’histoire de l’humanité embourbé dans l’autre côté des murs. «Les briscards de la criminalité dégage une forte odeur, qu’il y a de s’écarter, et dans votre processus métastatique osseuse et des fissures des murs de prison. Peu importe la réalité, la vie morne des truands. Plus forts qu’elle, l’ensemble d’une manade, imagerie un énorme monde. Ou, alors, une arène avec les coqs de combat. Les cornes, serres, le Puntiagudo. Le rouleau est féminin». Dans la mesure de la prévention, avec la métamorphose d’un crabe pas vue sur la mer, un bar en terrasse et de soleil enregistrement : vous y vivre gris, gagner petit, dur, sans trop d’air et sans sourire. Ce que révèle, le long de ce monologue fiévreux, cette confession rêche, Sylvie Dazy, est la prison dans la vie quotidienne, la vie et rien d’autre qu’une prison. Les plaisirs et les jours d’un maton lambda, mais aussi d’analyser l’écriture d’un «grand livre sur la prison». Notre homme s’appelle Christo, un gars du Nord, garantie par une licence d’anglais, l’absurde conduit à l’ombre de la prison de Bapaume et que, loin de le café de la famille, de «lever l’ancre pour une nature exotique» c.-à-d., le monde de la tôlerie. Parce que là, sans doute avec son goût de l’écoute et de l’Sil de l’ethnologue, l’intention de satisfaire votre goût d’un fait dangereux, une aventure en temps réel : «Le danger à temps, risque, armes. La solidarité entre les hommes, et la joie, le vigilant aimaient rire fort. Le matin serait une aventure». Mais si l’aventure n’est qu’elle prend en charge tous le rythme d’une ronde sans fin, rythmée par l’impact de la foulée et le grondement cliquetis des clés, les roues et les alertes soudaines telles que le suicide, le feu, l’émeute, une vie de la marche dans un corridor sempiternel terminé avec remontrances, les promotions et les transferts. Puis viennent les hommes, superviseurs et supervisés, les échelles et les chefs, des pots et des faux vrai dingues. «La prison est un drôle de l’école, travaillant à la fois à l’ostensiblement la brosse à de délicates, c’est ce que personne ne veut comprendre».